Contrairement aux actions, les parts de SCPI ne sont pas exposées aux marchés financiers car la valeur des parts dépend directement de la valeur du parc immobilier.
Ainsi, plus le parc immobilier prend de la valeur, plus les possibilités de réaliser une plus-value s’accentuent.
D’un point légal, la société de gestion communique trimestriellement sur la valeur de reconstitution qui correspond selon l’AMF à « l’ensemble des coûts nécessaires pour reconstituer la SCPI à l’identique. Elle prend donc en compte la valeur vénale, les droits de mutation à verser pour chaque bien et la commission de souscription ».
Tant que la valeur de reconstitution ne s’écarte pas trop du prix de souscription, la société de gestion n’a pas l’obligation de proposer une revalorisation de la part.
En revanche, l’écart entre le prix de souscription et la valeur de reconstitution ne doit pas dépasser 10%. Autrement dit, plus la valeur de reconstitution approche des 10%, plus la probabilité pour qu’une revalorisation du prix de souscription intervient est élevée.